Adieu. Adieu les pommes, l'eau pétillante mélangée au jus de pomme, les bretzels, les affiches "fashion against aids", la charcuterie à 6h40 du matin, les mots de Benjamin, la fossette de Rafaela, le rire de Dejan, la neige, la pluie, le soleil, les vélos, la verdure, le réveil à 5h50, le premier baiser volé à Oliver, les 360 suivants, P Diddy, le concert-soirée Medina, le fait d'être une shopaholic, les 6 tablettes Milka, les bonbons volés à Katja, les deus heures de putain d'attente dans le train, l'explosion de rire de ma mère, l'accent Schwäbisch de Maria, la piscine et les regards insinuants d'Oliver, les clémentines qui donnent la gerbe, le lit trop petit, les chaussures, les préjugés, schulervz, les pokes de maman, les oeufs tout blancs, la voix d'Oliver quand il parle francais, sa chaleur (puis sa taille, quand même...), les abricots secs, les putes du bus, les ongles qui repoussent, le stress qui s'évade, les photos, les promesses, les "mon amour" innocents, Chrissi, le cocktail Emmanuel qui rox du feu de dieu, le déhanché de Katja, les 18 ans d'Oliver... Adieu l'Allemagne.
Let the rain wash away all the pain of yesterday
"Ich bin achtzehn jetzt, ich kann zu Paris gehen."
Encore une promesse...